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Contre la Guerre

vendredi 25 mars 2022, par kilombo

Contre la Guerre/gci
Par Groupe Communiste Internationaliste

La guerre impérialiste OTAN/Russie, Ukraine/Russes, "nazis fascistes"/"communistes", fascisme/antifascisme... s’inscrit évidemment dans la guerre du Nouvel Ordre Mondial contre l’espèce humaine.

Comme le sont, aujourd’hui encore, les guerres éternelles/latentes en Bosnie-Herzégovine et dans toute l’ex-Yougoslavie, les bombardements et les assassinats des armées occidentales au Mali, en Somalie, au Yémen... d’Israël contre la bande de Gaza et d’autres territoires occupés, de l’État chinois qui génocide le peuple ouïgour et/ou de l’État birman contre les Rohingyas...

Même dans la région Ukraine/Russie [1], la guerre impérialiste n’a pas commencé maintenant, ni lorsque les escadrons de la mort et d’autres forces paramilitaires organisées par l’OTAN ont détruit le soulèvement social du prolétariat dans cette région, en 2014, s’imposant comme "nouveau" pouvoir politique "ukrainien", transformant, avec leur brutale puissance armée, le mouvement de révolution sociale en pure guerre impérialiste, militarisant toute la région, avec des drapeaux et des commandos nazis et léninistes perpétuant impitoyablement des massacres racistes et génocidaires. Ceux-ci font aussi toujours partie du PLAN contre-insurrectionnel des armées de l’ÉTAT MONDIAL [2].

Face à cela, l’humanité et donc le prolétariat dans sa lutte, n’a d’autre choix que de lutter, de toutes ses forces, pour transformer cette guerre en révolution sociale, en dirigeant sa lutte, en chaque lieu, vers la défaite révolutionnaire de "son propre État" (gouvernement ou petit État). Cette lutte de résistance contre la guerre immédiate est en même temps une lutte de résistance au Nouvel Ordre Mondial imposé par la ploutocratie (aristocratie financière) mondiale, qui impulse, arme et profite de toutes ces guerres.

La véritable guerre sociale contre la guerre impérialiste constitue donc, en même temps, de la résistance au PLAN macabre de la ploutocratie mondiale visant à dépeupler la terre. Résistance au plus gigantesque génocide de tous les temps qui bat son plein et qui, tout en affirmant son projet de destruction d’une partie importante de la population mondiale, cherche à transformer les survivants en êtres domestiqués, obéissants, soumis, soldats de leur propre oppression et exploitation.
Dans la lutte contre les guerres locales, il ne faut pas oublier un instant les plans globaux de l’aristocratie financière qui entend en finir pour toujours avec la véritable communauté humaine, en morcelant les êtres vivants en individus atomisés et concurrents, en êtres génétiquement modifiés, contrôlés, intoxiqués, numérisés, fliqués, inoculés, drogués aux médicaments, covidisés [3], derrière des écrans [4], superstitieux du plandémisme, adeptes du confinement et du masque (bussolière).

C’est-à-dire dans de véritables "dispositifs mobiles", connectés en permanence au cerveau central, digité par Bill Gates et compagnie, qui organise et ordonne tout ce qui nous reste à vivre, de la vie quotidienne à la respiration, de l’alimentation à la « médicamentation », de la naissance au crématorium, du contact avec les autres (distanciation) au bussolière, de l’écran à "l’amour", du "travail" aux "loisirs"...

Pour toutes ces raisons, cela n’a aucun sens d’appeler uniquement à la lutte du prolétariat de la région "russe/ukrainienne" et/ou d’appeler uniquement les habitants et les soldats de l’un ou l’autre front (y compris la production matérielle, bien sûr !) [5].

Le défaitisme révolutionnaire est mondial, OU IL N’EST RIEN !... IL DEVIENT UN « DEFAITISME » menteur et trompeur et finit, COMME TOUJOURS, par servir la défense nationale de l’un ou l’autre camp impérialiste !

Le défaitisme révolutionnaire, s’il ne part pas du défaitisme de tous les États et de l’État mondial n’a aucun sens. Il est encore moins logique d’appeler au "défaitisme révolutionnaire" dans une seule région et de s’adresser aux "soldats russes" et aux "soldats ukrainiens".

Cette position qui consiste à appeler à la défaite en Russie/Ukraine, au lieu de promouvoir la lutte internationaliste du prolétariat, qui résiste aujourd’hui au NOUVEL ORDRE MONDIAL, sous différentes formes dans plus de 100 pays, liquide la perspective révolutionnaire.

La guerre inter-frontières n’est pas une guerre entre pays ou "États", comme les médias voudraient nous le faire croire, mais clairement une guerre contre l’humanité. Ceux qui cherchent à réduire le "défaitisme" aux prolétaires en Ukraine et en Russie et/ou aux soldats de ces pays, les laissent totalement déconnectés de l’internationalisme prolétarien contre le Nouvel Ordre Mondial. Cette position, au lieu d’être "défaitiste révolutionnaire", est, malgré les déclarations plus ou moins correctes et grandiloquentes sur le "défaitisme révolutionnaire", partiale, castratrice, soumise... Elle sert l’établissement du Nouvel Ordre Mondial dans la mesure où ces guerres font partie de l’OCCULTATION MÉDIATIQUE, DE L’ATTAQUE TOTALITAIRE du gouvernement de la "Nouvelle Normalité".

Bien sûr, dans les guerres inter-impérialistes, il est important de dénoncer le caractère criminel des deux blocs dans les massacres de la population. Dans ce cas (Russie/Ukraine), nous ne perdrons pas de temps à rajouter des informations, les deux "fractions" semblent être les mêmes que la « seconde guerre mondiale » les nazis et les staliniens, hier alliés puis opposés, mais toujours en compétition pour savoir qui est le plus répressif, criminel et meurtrier. Nous préférons insister ici sur le fait que les deux faisaient et font toujours partie du même PLAN MONDIAL d’attaque contre l’humanité.

Ces guerres et ces "fronts" sont géographiquement partiels et, par conséquent, le fait de concentrer la réponse sur ceux-ci, en s’opposant uniquement à l’État ukrainien et russe, partialise géographiquement la lutte. Surtout, pour ceux qui ne se souviennent même pas que la lutte sur ces fronts de guerre (productifs et militaires) est la même lutte que celle menée par les prolétaires contre la DICTATURE MONDIALE au Canada, par les Gilets Jaunes dans des dizaines de pays, par les prolétaires en Guadeloupe, en Martinique... et/ou à Marseille ou à Turin !

La domination absolue, au niveau de la manipulation médiatique, de la guerre Russie/Ukraine, en relation avec le coronacircus fait également partie de la guerre mondiale contre l’humanité. D’un jour à l’autre, qui ils ont décidé qu’il n’y avait que ça d’important, et les premières pages sont occupées par des généraux et des colonels à la place des "experts" et des "médecins", mais le TERRORISME D’ÉTAT est toujours le même. Comme la manipulation de la pandémie devient de plus en plus évidente et confirme que la question sanitaire n’était qu’un prétexte pour la DICTATURE, pour continuer à l’affirmer, ils déclarent que "la pandémie se termine" et concentrent tout le TERRORISME DU GOUVERNEMENT DANS LA GUERRE. En ce sens, cette guerre est fondamentalement un exercice de diversion militaire mené par le gouvernement mondial pour poursuivre son attaque contre l’humanité.

C’est pourquoi focaliser la riposte sur un supposé "défaitisme révolutionnaire" qui ne parle que de cette guerre que les médias nous imposent, comme si c’était maintenant la chose la plus importante de toutes, en plus de partialiser encore plus la lutte, cela la castre dans sa véritable PROFONDEUR CORPORELLE, VITALE, ENERGETIQUE, PROGRAMMATIQUE, EN TANT QUE COMMUNAUTE DE LUTTE. Le "défaitisme", sans affronter quotidiennement la guerre sociale contre l’humanité, sans lui opposer la communauté de vie et de lutte dans tous ses aspects, n’est qu’une variante du politicisme social-démocrate.

La seule position révolutionnaire face à la guerre partielle est de la dénoncer pour ce qu’elle est, un chapitre de plus de la GUERRE MONDIALE GLOBALE que l’ÉTAT PLANÉTAIRE a déclaré, socialement et politiquement, contre l’humanité ; que les massacres visibles et déclarés, qui inclut la guerre médiatisée, ne sont qu’une partie de la DICTATURE GÉNOCIDAIRE, DE DOMESTICATION ET TRANSHUMANISTE qui est en plein développement.

La PEUR comme système de contrôle, la terreur médiatique sensationnaliste est maintenue et renforcée en passant du covidcircus à "la guerre arrive" et "la planète brûle" et vice versa...

LE PLAN génocidaire base sa stratégie permanente sur le système de TERREUR médiatique, créant la peur, plus il y a de peur mieux c’est, dans la mesure où le CHOC de la terreur est de plus en plus fort. C’est l’ABC de GOUVERNER PAR LE CHAOS, de la manipulation des cerveaux et des masses de prolétaires éblouis par les écrans des médias, créant un consensus, utilisant des techniques de contrôle mental et de propagande. Peur de la destruction de la planète ("pour sauver le monde, nous devons dépeupler la terre"), religion du réchauffement de la planète et du changement climatique, terreur de la vie même que nous sommes obligés de "sacrifier" pour éviter la catastrophe climatique. Peur du "terrorisme" qu’ils créent eux-mêmes, peur des virus dont ils font la publicité, création de maladies et de pandémies, dont la seule existence est idéologique et propre à LA RELIGION "médicale scientifique". Peur délibérément provoquée pour soumettre, contrôler, justifier l’omniprésence policière, éloigner, détruire les liens, faire éclater les solidarités et les luttes, museler les bouches, confiner, inoculer...

Le "défaitisme révolutionnaire" localiste et acritique de la DICTATURE du Nouvel Ordre Mondial n’est ni révolutionnaire ni défaitiste, mais, comme tout "défaitisme" bilatéral, il peut être utilisé par le camp adverse et servir la défense nationale de l’un ou l’autre camp. Cela ressemble trop au défaitisme social-démocrate et particulièrement au défaitisme bolchevique, qui, dès son origine, a servi et a été instrumentalisé par l’État mondial.

N’oublions pas que, la contre-révolution russe et mondiale a été un modèle parfait de transformation de l’énergie révolutionnaire contre la guerre mondiale, en défaitisme partialisant sous prétexte révolutionnaire (opportunisme social), pour servir les camps successifs de la guerre impérialiste, pour aboutir à la Grande Alliance bolchevique pour la répression et la contre-révolution mondiale. Sa formalisation "mondiale" a été précisément la Troisième Internationale... qui surfe sur le projet internationaliste du prolétariat révolutionnaire pour finir par déclarer, en son nom, la renonciation à la révolution, l’adoption du programme du centrisme social-démocrate (lors des premiers Congrès) et se transformer en la plus grande force de désarmement et de liquidation de l’autonomie révolutionnaire de tous les temps.

C’est exactement ce que Lénine, ses Bolcheviks et leur parti, la social-démocratie, ont fait ! Elle a obtenu des financements, des immunités et des voyages protégés, en vendant ce défaitisme "révolutionnaire" au camp allemand (pour obtenir le défaitisme russe), puis aux banquiers de la City et de Wall Street (pour obtenir le défaitisme des Allemands). En tant que parti d’intellectuels bourgeois pour la classe ouvrière (comme le disait Lénine/Kautsky), elle a rempli son objectif central : le massacre systématique du prolétariat dans toute la région et le développement du capitalisme en Russie/Union soviétique, sur la base du travail forcé et des camps de concentration. Ce fut LA PLUS GRANDE CONTRE-RÉVOLUTION DE L’HISTOIRE.

Le défaitisme "révolutionnaire" qui ne dénonce la guerre qu’en tant qu’inter-frontières ou inter-impérialistes et/ou le résultat de fronts opposés, oublie que ceux-ci font partie d’une GUERRE MONDIALE CONTRE L’HUMANITÉ. Leurs pratiques perverses, de mobilisation, d’enfermement, de masque buccaux, d’inoculation, de confinement, de "RESTE À LA MAISON », de distance sanitaire, de gestes barrières, de protocoles médicaux toxiques (et dans de nombreux cas, carrément CRIMINELS)... sont au cœur du PLAN aristocratique de destruction de la vie humaine.

La conception qui aborde le défaitisme comme inter-frontières et considère qu’on est plus défaitiste en s’adressant au prolétariat de chaque pays, est le résultat d’une conception social-démocrate, léniniste (ce n’est pas un hasard si la Deuxième Internationale était une fédération de partis nationaux, et finalement, localistes et nationalistes). En ne comprenant pas le capital comme une globalité, l’argent et la ploutocratie comme son essence historique, on ne peut avoir d’autre discours idéologique que celui de réduire l’explication des guerres impérialistes comme si elles n’étaient qu’inter-impérialistes et le fruit de la concurrence. C’est l’approche du social-opportunisme et, bien sûr, celle de Lénine dans son "L’impérialisme, stade suprême du capitalisme." !

La critique de l’économie, la critique de la valeur se valorisant, comprend, au contraire, que la base des guerres "impérialistes" n’est pas la concurrence, mais le capital total ; que même si chaque fraction du capital ne pense qu’à affronter et détruire ses concurrents commerciaux et militaires, les deux fractions réalisent l’intérêt global du capital, tant en transformant les luttes sociales en guerres de renouvellement du capital mondial, ou, autrement dit la destruction dans la guerre des forces productives (y compris les êtres vivants) réalise une fonction indispensable du capital mondial pour sa reconstitution et le son développement…

Tant les fractions gagnantes que les fractions perdantes profitent au capital mondial, qui augmentera son cycle de reproduction (crise, guerre, destruction, reconstruction, amplification...) et aussi au capital par excellence, le CAPITAL ARGENT, l’ARGENT COMME CAPITAL BANCAIRE, qui finit par accumuler de la valeur pour toute destruction et reconstitution, s’appropriant la plus-value des deux fractions opposées et percevant des rentes pour l’émission et l’usure que la guerre permet. C’est ainsi que se sont forgées la ploutocratie et l’aristocratie mondiale, c’est l’histoire même du capitalisme.

Comme le disaient les classiques : la guerre est l’essence du capitalisme, le capitalisme gagne toujours à la guerre, car les fabricants d’armes et les banquiers sont les véritables gouverneurs du capitalisme.

La conception du défaitisme "révolutionnaire" pays par pays, oublie qu’au-delà du capital contradictoire, concurrentiel, en guerre frontalière... il y a, en plus du capital global, le capital par excellence, la PLOUTOCRATIE, le gouvernement du capital. C’est-à-dire le pouvoir de l’argent mondial, concentré dans les émetteurs d’argent, les banques centrales, les fonds d’investissement, qui, comme les producteurs d’armes (prix Nobel) et les marchands de mort du monde entier, gagnent toujours, quel que soit le vainqueur des guerres locales de frontières et de fronts.

En effet, si du point de vue inter-bourgeois, le prolétariat défaitiste peut toujours être manipulé par l’autre bloc bourgeois (cf. le défaitisme d’un bloc entraîne le triomphe de l’autre) et que la bourgeoisie industrielle, agricole et de "services" peut être liquidée à jamais à cause de la destruction des moyens de production qu’elle possède, du point de vue de l’argent, du capital tout court, le capital gagne toujours dans toutes les guerres.

La fraction qui contrôle l’argent, les banques et l’émission monétaire est celle qui gagne toujours, quelle que soit l’issue des guerres. Il est donc logique que ce soit cette fraction qui ait poussé à toutes les guerres, territoriales, pour les matières premières et les marchés, pour étendre ses possessions, qui ait même forgé le système capitaliste mondial de haut en bas et sous toutes les latitudes de la planète. La domination de l’argent en tant que capital et la conformation historique du système capitaliste mondial… prend racine non pas il y a des centaines mais des milliers d’années.

Le CAPITAL ARGENT est l’essence de tous les autres, son origine historique (avant, on disait qu’il avait de 2 à 4000 ans, aujourd’hui on sait qu’il existe depuis bien plus longtemps, entre 7000 et 50.000 ans...), sa direction absolue, la domination de tous les modes de production immédiats "esclavagistes", germaniques, "asiatiques"... jusqu’à la conquête du monde en s’imposant comme un système mondial dégoulinant de sang et de boue par tous les pores... Les capitaux particuliers, comme le capital industriel ou agricole, ne sont que des métamorphoses de la forme valeur, ils en sont le support (production de valeurs d’usage)... Sans oublier aussi que les formes actuelles de production de valeur par les banques centrales, le "quantitative easing" (assouplissement quantitatif) confirme que la valeur a fait totalement abstraction du travail. La production matérielle et la vie même de la grande majorité des êtres humains sont totalement inécessaires, prescindibles pour le capital financier. C’est pourquoi ils peuvent aujourd’hui dire tout haut ce que seules les factions aristocratiques et malthusiennes de l’ombre disaient tout bas : " Pour sauver la planète, il faut réduire la population ", " moins il y a de VIES, mieux c’est ", moins il y a de VIE dans chaque " être humain " (isolement, domestication, limitation de la consommation, austérité, enfermement...), mieux les finances du monde se porteront. La bankocratie n’a pas besoin de tant d’humains, la ploutocratie mondiale n’a pas besoin de travail. Le capital mondial se valorise en éliminant le travail et en produisant des signes illimités de valeur. La "valeur-travail" est une réminiscence fétichiste de l’économie politique bourgeoise, particulièrement tenace dans la religion "marxiste-léniniste". Ils sont les plus conséquents à répéter qu’il faut se sacrifier pour l’économie nationale... que "le travail est ce qui rend le progrès possible". N’oublions pas que la plus haute sagesse de l’économie bourgeoise a été couronnée avec les planificateurs staliniens répétant le slogan de leurs chefs historiques : "le plus grand capital est l’être humain"… Combien basse et dégoûtante est la condition humaine selon Lénine, Staline, Stakhanov... !

C’est pourquoi le Bilderberg, ses Forums mondiaux, ses plans et programmes, ses fondations philanthropiques et ses organisations subalternes (ONU, armées, OMS, médias, police...) enferment et confinent, suspendent la production de choses et de services, les voyages et les rencontres, les plaisirs et le tourisme... et en général toutes les valeurs d’usages... Alors que les autres fractions capitalistes perdent du capital avec tout cela, que l’on ferme, que rien ne fonctionne, les plus puissants accumulent toujours plus de valeurs et continuent à augmenter le taux d’exploitation ! Par conséquent, alors que la petite et moyenne bourgeoisie, les propriétaires du bar du coin ou du supermarché du village protestent et parlent de la crise du capitalisme, les ploutocrates savent au contraire que tout ce qui ferme et fait faillite n’est pas la crise, mais au contraire le dépassement de la crise. Cela augmente les profits de ceux qui reçoivent l’argent gratuit, distribué par les grandes banques centrales, tandis que les gens "communs", le plus grand nombre est affamé et exterminé. Au moins il y a de travail, au plus il y a de plus-value, plus de production de valeurs par les banques émettrices et vers la domination des fonds d’investissement qui contrôlent le monde (effet Cantillon). La diminution de la plus-value industrielle, agricole et des services est SUPER compensée par l’augmentation des taxes et des impôts sur les carburants (au nom du changement climatique), sur tous les usages et valeurs d’usage, sur la promenade, les loisirs, le transport pour aller au travail et à l’école...

Cette direction historique de la valeur se valorisant à travers les siècles, que les révolutionnaires ont toujours affrontée et dénoncée en tant que PLOUTOCRATIE et/ou ARISTOCRACIE FINANCIÈRE, a dirigé le capitalisme mondial d’une main de fer, depuis son origine "prédiluvienne" jusqu’à aujourd’hui. Elle est constituée aujourd’hui par les banques centrales, les fonds d’investissement... et surtout par la centralisation et l’organisation politique/militaire/propagandiste... de ces forces (de ces propriétaires privés, ou plutôt de ces valeurs historiques personnifiées dans des personnes et des sectes de toutes sortes), comme le GOUVERNEMENT MONDIAL DE L’OMBRE.

Bien que les personnages de cette ploutocratie changent, et que la même ploutocratie se renouvelle en permanence, elle fait preuve d’une continuité infernale, à tel point que les sectes et les familles d’il y a plusieurs siècles sont aujourd’hui à la tête de l’ordre mondial qu’elles ont contribué à créer. Et on peut prouver des continuités sacrificielles, symboliques et mantriques, liées à la consécration de l’argent en tant que dieu avec l’ « œil qui voit tout », à la constitution mondiale du capital, aux sectes judaïques, aux francs-maçons, aux jésuites... depuis 200, 400 ans... et jusqu’à mille... ou 5000 ans, selon les recherches actuelles. L’exemple par excellence est celui de la famille Rothschild qui, depuis la "Révolution française", contrôle l’émission monétaire de l’Europe et de l’Amérique ; un contrôle assuré depuis tant de générations en plaçant un frère, un cousin ou un neveu à la tête des banques centrales de chaque grande capitale.

Cette dynastie ploutocratique a parrainé et imposé les grands généraux des guerres impérialistes, des monarques et des princes, des chefs des armées et des banquiers et même des "révolutionnaires" comme Napoléon et Lénine, qui ont organisé les plus grands massacres contre-révolutionnaires de leurs siècles respectifs. Cette ploutocratie familiale, sectaire et raciste, qui se définit même comme "le peuple élu", la "race maîtresse" et/ou "les éclairés", a armé les deux camps de toutes les guerres, y compris les deux dernières "guerres mondiales".

La plus grande concentration de fortune dans l’histoire du capital mondial (dans les banques centrales, les banques commerciales et les fonds d’investissement), n’a jamais été basée sur la production matérielle mais sur le capital argent, ni jamais sur la production de valeurs d’usage humaines mais sur sa destruction.

Ce même capital financier qui dirige le monde, cette même ploutocratie historique et même cette dynastie « d’élus » et « d’illuminati » sont ceux qui mènent aujourd’hui la GUERRE CONTRE L’HUMANITÉ. Et aussi ceux qui mènent la guerre Russie/Ukraine !

Ce n’est pas un hasard si les gouvernements russe et ukrainien ont appliqué à la lettre depuis 2020 la GUERRE CONTRE L’HUMANITÉ déclarée sous prétexte de pandémie, formellement ordonnée depuis les Nations-Unies et l’Organisation Mondiale de la Santé, mais bien sûr décidée au Forum Economique Mondial et plus précisément à son sommet le Club Bilderberg.

C’est pourquoi aujourd’hui, comme hier, nous, les révolutionnaires, appelons à la lutte CONTRE LE CAPITAL ET L’ÉTAT MONDIAL, contre le Plan génocidaire élaboré par la PLOUTOCRATIE QUI DOMINE LA PLANÈTE.

Comme toujours, nous affirmons la nécessité du défaitisme révolutionnaire, non pas dans telle ou telle guerre ou pays, mais en luttant dans toutes les régions du monde contre "leur" bourgeoisie et "leur" État, qui malgré toutes leurs contradictions et "petites guerres" sont unifiés dans l’application, de la dictature génocidaire pour créer le Nouvel Ordre Mondial.

Groupe Communiste Internationaliste
2 mars 2022

[1] La manipulation médiatique est telle que, même les termes "Ukraine/Russie", invasion/défense, frontière/région autonome, paix/guerre... cachent la réalité historique de la population de cette région au lieu de l’expliquer. Aucun de ces termes n’obéit à la vie réelle des gens de cette région vivant ensemble dans cette partie de la planète, mais bien à la confrontation entre les puissances capitalistes et impérialistes, détruisant et utilisant les gens comme du bétail. Aucune des catégories de guerre organisées et médiatisées par les puissants du Nouvel Ordre Mondial ne se réfèrent à l’humanité qui résiste à la guerre et à l’oppression (comme le fut par exemple la Makhnovtchina), mais à la guerre perpétuelle entre fractions capitalistes (nationalistes, "Russes blancs", nazis, Bolcheviks, armées occidentales, escadrons assassins imposés par les empires...), toutes criminelles et génocidaires.

[2) N’oublions pas que c’est exactement comme cela qu’en Espagne, dans les années 30, le capitalisme mondial a affronté la révolution sociale, imposant la polarisation fascisme/antifascisme à la polarisation réelle de classes. Et qui, comme aujourd’hui, a également imposé cette "guerre" contre le social, au moyen de l’action directe des forces militaires et des commandos armés sous différentes latitudes (comme la Russie, le Maroc, Londres et le Mexique) pour organiser des massacres systématiques contre la population civile et surtout contre les minorités révolutionnaires qui appelaient à la révolution sociale. Les lieux de torture, les bombardements aériens, les enlèvements et les meurtres de personnes ont été la carte décisive des léninistes et des franquistes... pour exterminer les révolutionnaires et décimer la population. Telles étaient les armes pratiques du fascisme/antifascisme pour faire triompher la guerre impérialiste. CELA EST TRÈS SIMILAIRE À CE QUI ILS VEULENT FAIRE AUJOURD’HUI !

[3] On appelle « covidisé » celui qui professe la religion du virus contagieux, adhère au credo sanitaire de l’OMS, accepte la "distanciation" et est calé devant la télévision, porte le masque sur simple demande ou affichette, se retrouve sans travail et mange plus de merde que jamais, parce que "sortir et voir des gens ne sert qu’à s’infecter", mais... ne va pas protester, parce qu’il sait qu’"il n’y a personne à blâmer", parce que c’est typique des "pandémies du capital" et que seuls les "négationnistes", les "antisémites" et les "théoriciens du complot" protestent... Non, cela ne signifie pas que le consensus soit déjà acquis : "il faut vacciner tout le monde par tous les moyens". En effet, la masse des croyants n’acceptent pas pour autant la solution répressive.

[4]Comme pour "covidistes" et "covidisés"... ces mots étranges et changeants ont été créés selon les besoins de la lutte, tant dans les soupes populaires que sur les barricades, contre ceux qui adhèrent à la religion PLANDEMIQUE du pouvoir et de la répression, du Mexique à l’Espagne, de l’Argentine au Nicaragua. « Covidiste » est utilisé par exemple contre ceux qui pensent que les maux viennent, NON d’une attaque étatique, policière et militaire contre les quartiers pauvres, mais d’un "virus" "réel" et/ou "inventé par les Chinois" qui provoquerait la maladie et la mort. "Covidisé" désigne ceux qui adhèrent plus globalement au dispositif religieux officiel et aux mesures répressives qui en découlent, et cherchent à les justifier, comme le font les médias dominants. En espagnol, Le terme "apantallados" (accro à l’écran), qui pourrait signifier ceux qui n’utilisent pas les écrans, est utilisé dans certains milieux pour désigner ceux qui ne sont guidés que par les écrans (y compris, bien sûr, les grands médias télévisés et autres écrans "intelligents"), qui "ne croient que ce qui est dit à la télévision", "qui se laissent laver le cerveau... par les médias créés à cet effet". Ces "gens" sont supposés être l’incarnation même du pouvoir, parce qu’ils transmettent tout ce que le pouvoir dit : "vous ne voyez pas que vous ressemblez aux chaînes de télés officielles, vous répétez la même chose que ce qui a été dit à la télévision hier soir", "tu ne vois pas que tu parles comme si c’était le communiqué officiel annonçant les mesures sanitaires" ? Bien que cela semble laid, on a aussi entendu parler d’"avaccinés", de "blindés" (en opposition au invaccinables) pour désigner ceux qui ont été tellement inoculés que leur téléphone portable leur colle au corps, ceux qui émettent une adresse Mac et ceux qui, dit-on, "se sont fait injecter la puce de la connexion permanente... à l’écran", "sont les perroquets et les pandores du comité scientifique".

[5] Voir, par exemple l’article de février 2022 « Prolétaires en Russie et en Ukraine ! Sur le front de la production et sur le front militaire... Camarades ! », du groupe TRÍDNÍ VÁLKA / CLASS WAR/GUERRE DE CLASSE… que nous critiquons en détail dans un autre article, que nous publierons bientôt. Ici, nous n’entrons pas dans les détails, mais nous affirmons notre position contre tous ceux qui prétendent se distancer des deux côtés de la guerre, SANS DENONCER cet épisode local comme faisant partie de la guerre du gouvernement mondial contre l’humanité.

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